Dans l'idée du vaporeux, des consistances eaux-ciel, les nuages flottants sur l'absolu, un contexte de presque non-existence ou d'infinis possibles. Cette série comporte une troisième dimension; l'impression que la forme sort du cadre.

Dans la forêt, en marchant; le défilé des êtres de bois. L'aspect linéaire et horizontal de ces ouvres tentent de rendre le passage dans la forêt, un paysage intérieur.

L'espace d'une galaxie comme fenêtre. Un champs croissant vers le ciel, où les étoiles sont des fleurs et les fleurs des étoiles.

Le charbon de bois, les poudres de pastels dans les vapeurs de l'océan. Comme vu à travers un rêve, le halo est vecteur et centralisateur; il précise et définit en laissant de l'espace pour continuer en soi.

La vitalité de la couleur et des valeurs. L'apparition, l'impression, la présence de la couleur par sa texture et par glacis. Des bulles de forces et de suggestions.

Un ligne tirée sur le bout de la terre, les champs de neige, les champs des saisons, le large. Voir dans le vaste de grands espaces.

Au plus haut de notre ciel, le jaune qui fait le jour est toute lumière. Comme une célébration, l'astre tantôt mystérieux sous un écran, vif dans l'éclat pur ou vaporeux parmi les nuages.

Sur le vaste on dépose la nuit, celle qui vient. Cette série s'étire dans l'horizon marin et propose la diversité d'une palette de bleus très profonds.

Des aquarelles de voyages, des parts de route et surtout la mer, même dans les villes. Une recherche sur la lumière et le passage. La suspension du paysage au dessus du fini.

Il y a des falaises, des chutes et des îlots. Ces toiles sont tendues de luxuriance où l'imagination nous emporte à l'orée d'une terre inconnue.